Brigitte Macron, victime de harcèlement à caractère transphobe, a décidé de porter plainte. Elle vient d’assigner en justice deux femmes qui seraient à l’origine de la propagation des rumeurs transphobes.
Le hashgat #JeanMichelTrogneux très populaire
En décembre dernier, des harceleurs de Brigitte Macron se sont acharnés sur elle en propageant des rumeurs transphobes. Ces détracteurs ont insinué que la première dame était née homme et qu’elle aurait subi des opérations pour changer de sexe. Mi-décembre, le hashgat #JeanMichelTrogneux figurait dans le top des tendances de Twitter en France.
Une première audience fixée au 15 juin devant la 17e chambre du tribunal de Paris
Interviewée par RTL mi-janvier, Brigitte Macron a confié avoir regardé tout ce tapage sur les réseaux sociaux “de loin”. Mais elle a décidé d’agir quand les harceleurs se sont mis à toucher à l’arbre généalogique de ses parents. Elle a commencé par tout effacer les rumeurs transphobes sur les réseaux sociaux, une action qui a pris cinq jours et demi. Puis elle a décidé de porter plainte contre ces harceleurs qui sont en réalité deux harceleuses.
Selon Le Figaro, Brigitte Macron vient d’assigner devant le tribunal judiciaire de Paris deux femmes ayant propagé les fausses rumeurs. Une première audience a été fixée au 15 juin devant la 17e chambre du tribunal de Paris.
> Rumeurs transphobes : Brigitte Macron déposera plainte
